Didier Robert, le gros roublard des cocotiers

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Le gros roublard des cocotiers
rendons à César ce qui est à César et au JIR ce qui est au JIR
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Alea jacta est !  Le bon juge a jeté son dé comme il convient en suivant la voie naturelle du bon sens. Le verdict n'est pas le fruit du hasard, de l'aléatoire. Il ne peut que plaire à ceux qui s'accrochent à la légitimité : trois ans d'inéligibilité. Le roublard  est fait aux pattes, comme le montre son ami, Jacques Tillier : la caricature  ci-dessus, une copie de celle du JIR, est fort éloquente. Si le roublard n'a pas piqué directement dans la caisse des contribuables, ses amis ont su le servir eux-mêmes en lui donnant une petite indemnité de 6800, en récompense de son apport financier versé à la SPL des Musées régionaux.  Oui, ses bons amis lui ont donné à l'unanimité la présidence de cette mirifique SPL des cocotiers, et oui, avec une indemnité de 6800 euros par mois.  Le malheureux bienfaiteur ne peut que se lamenter : "Ma SPL des Musées régionaux m'a tuer."

Et roublard un jour, roublard toujours.  Oui, il fait appel : en conséquence, il peut être encore candidat aux Régionales prochaines. Du jamais vu !  Qui donc va avoir l'audace de voter pour un roublard de cette envergure ? Bien sûr, Anne Flore Deveaux pour laquelle le bon Dîdier des cocotiers est son divin président. Cela semble aller de soi : il lui a donné une belle fleur, il  lui a donné le feu vert pour sa candidature aux Départementales prochaines.  De même quelques autres qui ont son appui pour ce même scrutin. Les larrons de ce genre s'entendent comme larrons en foire et adorent leur bienfaiteur.  

Roublard un jour, roublard toujours !


Gérard Jeanneau
Gières, le 22 mai 2021

PS
Vanessa Miranville, candidate aux Régionales, la candidate rêvée des Gilets Jaunes : elle donne la parole aux citoyens ! Du jamais vu à la pyramide inversée !
Nous sommes aux antipodes de la roublardise !

 

grosse tuile judiciaire

article de Témoignages

article chez Freedom

SPL musées Régionaux

Affaire des musées régionaux.






La pyramide inversée