Maître Noor-Olivier Bassand, avocat de
son état, semble découvrir la lune : un impôt (macronien) qui finance une aide, qui amortit une
taxe. Mais c’est ainsi que fonctionne l’Etat : on impose, on taxe, on
prélève et on redistribue partiellement à qui a besoin d’aides.
L’Europe fait de même. Les agriculteurs en savent quelque chose, les
planteurs aussi.
La taxe macronienne sur le pétrole tombe
au très mauvais moment : cette taxe s’ajoute à la taxe habituelle, et
cette dernière augmente d’office quand le pétrolier augmente ses
produits pétroliers. Le pétrolier vient d’augmenter sa marchandise.
C’est ce qui a mis en branle les gilets jaunes qui jettent tout sur les
épaules de Macron et qui ne voient pas le fonctionnement de la
législation dans ce domaine.
Une sacrée aubaine, finalement, pour le
président de la région Réunion, qui va toucher, lui aussi, un bon
pactole pour sa NRL. Et que fait le président, notre bon Didier : il
redistribue partiellement à qui est dans la peine. Et Bassand, notre
avocat, est un adjoint de ce bon Didier, élu légalement par seulement
une petite dizaine de Réunionnais sur une petite centaine. Pourquoi le
maître de la pyramide inversée, Didier, n’essuie-t-il pas les
foudres de Bassand, l’autre maître ? Ne rions pas ! En tout cas, Didier
n’a pas enfilé son gilet jaune, aucun de ses adjoints non plus, à
l’exception de Fontaine qui n’est pas bien en phase avec le généreux
Didier.
Que fallait-il faire depuis belle lurette
? Etablir tout simplement une taxe pérenne sur les produits pétroliers,
une taxe qui soit stable et non évolutive en fonction du marché
mondial. Il faut vite enfiler son gilet jaune pour corriger cette
anomalie qui sème actuellement la zizanie et laisser jouer le jeu des
subventions qui corrigent, chez certains, la brutalité d’une taxe ou
d’une catastrophe naturelle.
Maître Noor-Olivier Bassand, avocat de son état, semble découvrir la lune : un impôt (macronien) qui finance une aide, qui amortit une taxe. Mais c’est ainsi que fonctionne l’Etat : on impose, on taxe, on prélève et on redistribue partiellement à qui a besoin d’aides. L’Europe fait de même. Les agriculteurs en savent quelque chose, les planteurs aussi.
La taxe macronienne sur le pétrole tombe au très mauvais moment : cette taxe s’ajoute à la taxe habituelle, et cette dernière augmente d’office quand le pétrolier augmente ses produits pétroliers. Le pétrolier vient d’augmenter sa marchandise. C’est ce qui a mis en branle les gilets jaunes qui jettent tout sur les épaules de Macron et qui ne voient pas le fonctionnement de la législation dans ce domaine.
Une sacrée aubaine, finalement, pour le président de la région Réunion, qui va toucher, lui aussi, un bon pactole pour sa NRL. Et que fait le président, notre bon Didier : il redistribue partiellement à qui est dans la peine. Et Bassand, notre avocat, est un adjoint de ce bon Didier, élu légalement par seulement une petite dizaine de Réunionnais sur une petite centaine. Pourquoi le maître de la pyramide inversée, Didier, n’essuie-t-il pas les foudres de Bassand, l’autre maître ? Ne rions pas ! En tout cas, Didier n’a pas enfilé son gilet jaune, aucun de ses adjoints non plus, à l’exception de Fontaine qui n’est pas bien en phase avec le généreux Didier.
Que fallait-il faire depuis belle lurette ? Etablir tout simplement une taxe pérenne sur les produits pétroliers, une taxe qui soit stable et non évolutive en fonction du marché mondial. Il faut vite enfiler son gilet jaune pour corriger cette anomalie qui sème actuellement la zizanie et laisser jouer le jeu des subventions qui corrigent, chez certains, la brutalité d’une taxe ou d’une catastrophe naturelle.
Et Bassand cessera de nous bassiner .
Gières, le 19 novembre 2018