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En fin de journée je branche mon scooter électrique dans le local prévu à cet effet. Un jour, je suis venu voir s'il était chargé. Surprise, je constate qu'une main malicieuse l'a débranché. Je le rebranche et, deux heures plus tard, je constate que la main malicieuse l'a, de nouveau, débranché. Et le lendemain, comme d'habitude, je rebranche mon scooter, mais je mets l'alarme en route. Un peu plus tard, je reviens vers ce local. Cette fois, pas de débranchement et je m'en vais dans le jardin tout à côté jouer par internet à mon jeu favori, à la belote. J'en étais à ma troisième partie quand l'alarme retentit. En 10 secondes, je bondis vers le local, je vois, tout à coté du local, Patrick Sirvent, mon voisin dont le studio est au-dessus du mien, à l'étage supérieur. Il était avec sa chienne noire, Jade. Personne d'autre n'était là. Bref, je l'avais comme pris en flagrant délit, et il est parti précipitamment sans rien dire vers le portail qui donne accès au square des Charmilles. J'ai raconté ce haut fait à la directrice de la résidence Montesquieu, Amélée Kpadenou, qui a volé au secours du truand : "Vous ne l'avez pas vu débrancher; si vous racontez cela, c'est vous qui serez condamné par le juge pour diffamation. Je laisse mon bon juge apprécier cette épineuse affaire et je reste persuadé qu'il pointera du doigt le raisonnement biscornu de ma directrice. A Grenoble, résidence Montesquieu, le 22 septembre 2025 Gérard Jeanneau, professeur de lettres classiques, toujours en activité à l'Université de Louvain. nota bene La directrice Amélée Kpadenou m'a dit à plusieurs reprises : "Pourquoi restez-vous dans cette résidence où vous ne vous sentez pas bien ? Elle a raison. L'anxiété, chez moi, se traduit par de gros problèmes de peau. Je suis souvent chez le dermatologue. La pétaudière d'Amélée Kpadenou est anxiogène. Nathalie, ma fille, comprend mon désarroi. Elle m'a emmené à Montbonnot visiter la résidence privée Nohée qui a de grands studios tout meublés avec connexion internet. C'est une résidence près de chez elle. Je suis sur la liste d'attente. J'espère m''y établir l'année prochaine et y sauver ma peau. Mon seul regret sera de quitter mes deux infirmières et le personnel de la résidence, dont le bon Joseph, qui, lors du repas de midi, a toujours un petit mot pour chacun de nous. même article chez Mediapart la résidence Nohée à Montbonnot .
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