Les jours passent depuis que j'ai subi une punition, à mes yeux totalement imméritée, à la résidence Roger Meffreys à Gières de la part de la directrice-même de cet établissement, gérotologue de surcroît, Jeanne Barbier. Je venais de recevoir une photo de fesses sur ma page facebook, sur mon portable; la jeune stagiaire Mélissa, qui venait de me servir l'a vue mais ne s'en est pas éloignée pour autant. Peu après est tombée la sanction : interdiction de prendre les repas dans la salle à manger de la résidence, au motif que la stagiaire est perturbée. C'est comme à huis clos que le tribunal de la dame Barbier a pris la décision. Certe, je reconnais ma bévue, mais en faire une affaire d'Etat, c'est pousser le bouchon un peu loin. Comment puis-je être à ce point un homme dangereux ! Dame Barbier n'a pas convoqué ma fille, juriste, pour son arrêté; je n'ai pas été invité à m'expliquer. C'est bien un parfait huis clos ! Pas de trace écrite : c'est une sanction orale. Et dire que j'ai enseigné le français à des élèves de quatrième et troisième à La Réunion, pendant 43 ans. Je ne leur ai jamais infligé aucune punition; et même, à mon retour de congé de maladie pour l'implantation d'une prothèse mitrale de Saint-Jude, les élèves, devant la porte de la classe, m'ont chaleureusement applaudi. Quel contraste entre leur attitude et celle de la pauvre dame, Jeanne Barbier, gérontologue. Pourquoi cet enthousiasme effréné de sa part ? Je serais devenu tout soudain un homme dangereux à la résidence Roger Meffreys : voilà la principale cause de mon exclusion du repas avec les résidents, le temps du reste du stage de Mélissa. Curieuse justice ! Parfaite injustice ! Bien sûr, j'ai porté plainte, mais mon juge croule sous les dossiers. Mon affaire n'est pas prioritaire. Et pourtant cette sanction est bien une maltraitance, et plus grave, une maltraitance sournoise, faute de trace écrite. Et je m'empresse de revenir auprès de ma gérontologue pour avoir une petite trace écrite. On ne doit pas se contenter du célèbre misouk réunionnais. Il n'est jamais trop tard pour tenter de se justifier. J'insiste, mais en vain. Et même on en vient à dire que je harcèle ... ma maltraitante ! L'autre gérontogue de la résidence, à dix mètres de la première, Ophélie Lusseau, bien au courant de mes démarches, abonde dans le même sens que la dame Jeanne Barbier et m'a menacé d'appeler la gendarmerie. C'est le comble de la sotise. Tout est publié urbi et orbi, sur internet, avec mainte hyperbole, tout à fait légalement. Mon juge sera bien informé. Et dire qu'une de mes infirmières, qui n'est pas réunionnaise, Dieu merci, s'est jointe aux concerts de mes pleureuses de la résidence. Elle m'a toisé et a froncé les sourcils. J'ai compris son message : "Tais-toi, sois masochiste". Hélàs, je ne le suis pas et ne le serai jamais. Et les trois pleureuses de le résidence Roger Meffreys, c'est le trio féminin qui gère actuellement cette résidence : on se croit sorti de la cuisse de Jupiter, mais, en fait, on est d'une ... Le clou de tout cela, c'est le fin mot de Laura, célèbrissime animatrice de la résidence Roger Meffreys : " Vous n'êtes puni que dans votre tête". C'est un mur sordide d'incompréhension que je vois édifié à la résidence Roger Meffreys. Alors, comme il m'est impossible de faire revenir à résipicence la dame Jeanne Barbier, avec sa fidèle clientèle, oui, alors je lève les bras vers le Ciel et je crie à pleins poumons : "Rappelle-moi vite là-haut, dusses-tu me fournir seulement un strapontin". Oui, alors j'oublierai toutes les méchancetés organisées ici-bas à la résidence Roger Meffeys. Enfin, au Ciel, je retrouverai mon bonheur perdu, j'oublierai les brimades infligées à la résidence Roger Meffreys. Mon bon ami lecteur, apprécie comme moi mon bonheur éternel qui, j'en suis sûr, m'attend très bientôt au Ciel. En attendant ce très grand bonheur, j'étale sur internet, urbi et orbi, ma terrible et tenace souffrance morale. Et la publier, c'est la rendre nettement plus supportable ! Je me sens comme soulagé d'un poids qui me pèse lourdement. Bien sûr, la direction de Roger Meffreys sous la houlette de son grand maire, Pierre Verri, qui m'a envoyé une lettre recommandée avec accusé de réception, n'a pas employé le mot pestiféré à mon égard. Mais, homme de lettres chevronné, je me permets de dire son non dit : "Je suis le pestiféré de la résidence Roger Meffreys, je suis un père pervers". A Gières, 3 mai 2024 Le sieur Gérard jeanneau, le pestiféré de la résidence Roger Meffreys, par les bons soins de la gérontologue, Jeanne Barbier, mais le pestiféré de la résidence ne l'est pas à l'Université de Louvain monsieur le grand maire de Gières misouk itinera electronica à l'Université de Louvain Maltraitance en France chez wikipedia .
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